Publié par Noémie Leclercq le 23/03/2020.

Peut-on encore apprécier un bouquet de fleurs lorsque l’on connaît son empreinte carbone ? Les fleurs coupées sont, pour la plupart, bourrées de produits phytosanitaires, élevées sous serre ou transportées par avion depuis des pays lointains, où l’environnement et les conditions de travail sont tout aussi peu considérés, avant de transiter par les Pays-Bas, véritable plaque tournante de l’industrie. Du moins, c’était avant Monsieur Marguerite, « artisan-fleuriste » en ligne, lancé en 2017, qui compte une équipe de 17 personnes.